27 mars 2025

menu petit dejeuner marathon

Qu’est ce que vous devez manger avant le marathon ?

Vous avez prévu de vous engager dans un marathon ou vous êtes en pleine préparation marathon.

Comme vous le savez peut-être, c’est une course extrêmement difficile qui demande une grande rigueur au niveau de la préparation physique et de l’alimentation.

Ainsi, avant le grand départ, prendre un petit déjeuner sain qui ne sera pas trop copieux est au moins aussi important que la phase d’entraînement. Il est important d’en être bien conscient. Sans ce petit déjeuner, vous risquez de ne pas atteindre votre objectif et la course risque d’être pénible.

Ce petit déjeuner matinal sera votre tout dernier repas avant votre grand départ (Vous avez peut-être suivi une alimentation spéciale pendant la semaine avant votre marathon).

Il est donc important de bien recharger vos batteries.

Mais attention, il est également important de ne pas passer en mode surcharge ou ce sera l’abandon assuré dès les premières minutes de courses.

Tout d’abord, il est primordial de respecter la règle dite des trois heures.

L’effort physique et la digestion sont deux éléments qui ne font vraiment pas bon ménage. Pendant la course, si vous avez mangé trop peu de temps avant le départ, la circulation sanguine musculaire liée à votre activité corporelle va interférer avec celle liée à la digestion de votre repas.

De plus, une sécrétion d’insuline et un ralentissement de la production de glucagon peuvent être observés pendant la phase de digestion. Alors que pendant l’effort, le phénomène est totalement inverse.

Bref, il semblerait que ces deux là ne puissent vraiment pas s’accorder.

Ainsi, si le petit déjeuner est pris trop tard dans la matinée, vous vous risquez à énormément d’effets secondaires qui peuvent s’avérer extrêmement désagréables en pleine course.

Baisse de la tonicité, épuisement précoce, spasmes, vomissements, essoufflement ou tachycardie ne sont quelques exemples non exhaustifs.

Prendre votre repas au moins trois heures avant la course semble être le meilleur moyen pour éviter ce genre de désagréments.

Ainsi, quand vous serez arrivé au moment fatidique où vous devez prendre votre petit déjeuner, il va sans dire qu’il faudra éviter les croissants et autres aliments trop pesants.

S’il est important que votre repas soit complet, il ne doit néanmoins pas être trop lourd.
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05 mars 2025

Eviter les blessures running

Comment éviter les blessures en course à pied : nos 10 conseils

Certaines personnes sont réticentes à se mettre à la course à cause de la douleur que cela peut engendrer. Effectivement, même si le running possède de nombreuses vertus, certains coureurs peuvent souffrir.

Les douleurs surviennent généralement après l’entraînement.

On remarque différentes blessures qui peuvent survenir chez des personnes faisant du running telles que les blessures musculaires, les contractures, les élongations et bien d’autres. On ne peut pas passer non plus à côté des traditionnelles ampoules.

Toutefois, il existe quelques petites astuces à connaître afin de prévenir certaines douleurs et donc arrêter de se chercher des excuses pour ne pas se mettre au running. Pour vous aider, voici 10 conseils pour éviter ces petits bobos.

1 – Ne négligez pas l’échauffement

Si vous commencez votre séance de running sans vous échauffer, cela pourra entraîner des courbatures qui vous donneront l’envie d’arrêter de courir à tout jamais. Alors, même si cela prend un peu plus de temps que vous ne l’aviez prévu, ne faites pas l’impasse sur l’échauffement.

Veillez également à ne pas vous étirer trop profondément.

Pour vous échauffer de façon optimale, commencer vos séances Jiwok a un allure très tranquille pendant une dizaine de minutes. Cela vous permettra notamment d’éviter les élongations, les claquages et les entorses.

2 – N’oubliez pas les étirements

Lorsque vous avez fini votre séance d’entrainement, il est primordial de faire une petite séance de « retour au calme » et d’étirements. Au même titre que l’échauffement, si vous faites l’impasse dessus, vous risquez de ressentir de vilaines courbatures. Comptez au minimum une dizaine de minutes pour vos étirements afin qu’ils soient efficaces.

3 – Restez hydraté

Même si votre échauffement vous protège des courbatures, il ne le fera pas contre les crampes. Ces dernières peuvent être vraiment handicapantes pour un sportif et peuvent toucher tout le monde. Que vous soyez un coureur débutant ou aguerri, il faut impérativement que vous restiez hydraté afin des les éviter.
Si vous ne buvez pas assez, il n’y aura pas un échange optimal entre vos muscles et votre cerveau et vous le ressentirez. Pendant votre séance, buvez régulièrement. N’oubliez de prendre une réserve d’eau avec vous si votre séance, car à force de transpirer vous allez vous déshydrater.
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19 février 2025
running froid hiver

Running dans le froid : 4 conseils pour courir par temps froid – hiver

L’hiver ne sonne pas la fin de vos sorties de course à pied en extérieur.

Bien que les ardeurs soient rafraîchies par la température, ces 4 conseils vous permettront de pratiquer vos séances de running, tout en restant léger et continuer à vous amuser lors de votre entrainement Jiwok !

1 Que porter ?
2 Votre tête et votre cou
3 Et les mains ?
4 Une dernier pour la route

 

1- Se couvrir ? Oui mais pas trop !

Quand la température avoisine les 0°C ou qu’il neige, il est important de bien se couvrir afin de ne pas attraper un vilain coup de froid.

Toutes les parties sensibles devraient ainsi être protégées du froid mais contrairement aux pratiques qui favorisent la superposition de plusieurs vêtements, les nouvelles technologies utilisées par les fabricants de matériels sportifs sont légères et confortables.

Vous n’aurez plus besoin de porter plusieurs vêtements pour avoir la température voulue, surtout lorsque vous courez dehors, il vous suffit juste de choisir les bonnes matières.

Il n’est pas conseillé de porter des vêtements en coton lorsque vous faites votre entrainement dans le froid car cette matière ne favorise pas l’élimination de l’humidité.

Préférez plutôt le polypropylène ou des tissus synthétiques avec lesquels une seule couche suffit pour garder votre corps sec.

Pour se protéger contre le vent et les précipitations, mettez un survêtement respirable en nylon ou imperméable. Cela suffit amplement pour vous donner du peps et aller courir dans de bonnes conditions.

Toutefois, si la température descend au-dessous des -20°C (c’est surtout pour nos amis Canadiens), mettez une polaire sous votre survêtement.

Vous pouvez retrouver notre article complet sur les 6 équipements running nécessaires pour se protéger du froid.

2- Protégez votre tête et votre cou

Pour commencer, sachez que 40% de la chaleur du corps s’échappe de votre tête lorsque vous courez dans le froid.

Afin de préserver votre température corporelle, pensez à porter une bonnet ou casquette adapté au froid.

Si les températures sont vraiment glaciales, il serait plus prudent de couvrir le cou et le visage avec un cache cou, un bandeau ou bien avec une cagoule. En laine ou en molleton, ces accessoires peuvent couvrir la bouche et réchauffer l’air que vous respirez.

D’autres modèles de bonnet de running sont également disponibles sur le marché ou bien des caches-oreilles. Vous pouvez également utiliser des casques pour écouter de la musique tout en protégeant vos oreilles.

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05 février 2025

renforcer-ses-muscles-pour-courir-marathon

(crédit photo : darkmatter )

4 exercices faciles pour améliorer vos performances par le renforcement musculaire. (PPG)

Pour tous les Jiwokers qui suivent un entraînement pour le 10 km, le semi-marathon, ou le marathon, je vous propose de découvrir (ou de redécouvrir pour certain ?) les petites astuces pour consolider vos muscles et courir plus vite en course à pied (que vous soyez débutant, confirmé ou expert).

Lors des courses à pied, beaucoup d’efforts sont sollicités auprès des groupes musculaires :

 1  Les quadriceps
 2  Les ischios-jambiers
 3  Les mollets
 4  les abdominaux

Les quadriceps, les ischios-jambiers, les mollets, les abdominaux, autour des bras, et le bien entendu cœur.
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15 janvier 2025

alcool running sport course a pied

Pourquoi l’alcool est mauvais pour le coureur et les sportif ?

Si vous vous êtes lancer dans  le défi « Janvier Sec » (Dry January dans la langue de Shakespeare)  qui consiste à s’abstenir de toute consommation d’alcool durant le mois de janvier (même lors de diner entre copains…),  alors je vous conseille la lecture cet article à partir de février.

Quand je dis « boire ou courir », je parle évidemment d’alcool et non pas d’hydratation pendant après vos séances d’entrainement.

Le sport et l’alcool ne font pas bon ménage lorsqu’il s’agit de pratiquer un entrainement ou une compétition.

Bien rares sont ceux qui penseraient à suivre une séance de running (ou de fitness) soûl.

Mais on pense moins au fait que la consommation d’alcool, à table ou de façon plus festive, est mauvaise pour la pratique du sport sur le moyen et long terme.

Mais puisqu’il reste bien difficile de se priver d’une bonne bouteille ou d’une occasion de faire la fête, voyons un peu comment se ménager au préparer pour aller courir dans de bonnes conditions.

 1   ✅ La réhydratation
 2 Le choix des alcools
 3 Le choix de l’abstinence
 4 Une consommation responsable
 5 L’alcool n’est pas bon pour l’ossature
 6 Gérer son sommeil


1-La réhydratation

L’alcool déshydrate, c’est bien connu. Les habitués des soirées vous diront même qu’il faut alterner un verre d’eau ou de soda avec un verre d’alcool. En effet, la déshydratation se fait sentir dès l’absorption d’un alcool supérieur à 4°.

Dès lors, il convient de récupérer de sa déshydratation lors d’une séance de course à pied avant même d’entamer une soirée ou un repas où le vin sera servi.

Ainsi, en remettant son corps d’aplomb, on sentira moins les effets de la déshydratation causée par l’alcool.

Il reste aussi conseillé de bien boire de l’eau entre chaque verre d’alcool de façon à limiter en cours de soirée la déshydratation.

2-Le choix des alcools

Même si sans alcool la fête est plus folle, on aime bien boire un verre de temps en temps. Il y a justement quelques petites choses à savoir concernant le choix de ses alcools. En deçà de 4° d’alcool dans le liquide, les effets de la déshydratation ne se font pas sentir.
C’est vrai que le choix se limite au cidre qui est un choix moyen en raison du taux de sucre.

Au delà de ce taux, plus il y a d’alcool, plus la soif se fait sentir. En conséquence, surtout pendant une période de sport intense, il faut se militer aux alcools les moins violents et préférer une bière légère à une bouteille de vin.

3-Le choix de l’abstinence

L’abstinence en terme d’alcool concernant les grands sportifs n’est en rien un secret. Mais elle doit concerner aussi ceux qui se trouvent dans une grosse phase d’entrainement ou qui sont en période de compétition. En effet, l’alcool ralentit le processus de récupération musculaire. Or, en période intensive, cette récupération est primordiale pour être en bonne condition.

L’alcool ne fait donc pas bon ménage avec le sport intense et d’autant plus la course à pied. L’alcool est mauvais aussi pour les tendons qui sont placés d’emblée dans un état pro-inflammatoire. En somme, le moindre petit écart de sollicitation de vos tendons peut entraîner tendinites et blessures à cause de la présence d’alcool.

4- Une consommation responsable

Naturellement, personne n’incite à la consommation d’alcool. Elle est toutefois assez inévitable. Si on sait qu’une période intense de sport ou de running est peu compatible avec l’alcool, il convient donc de programmer ses soirées en fonction de son entrainement.

Si vous savez que vous avez dans l’année, admettons durant les fêtes de fin d’année, une période plus légère en sport, c’est l’occasion de moins culpabiliser sur votre consommation d’une bonne bouteille de vin. Celle ci aura moins d’impact sur votre organisme que de jongler entre aller courir et les soirées entre amis.
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27 novembre 2024

courir matin ou soir v2

Qu’est ce qui est le mieux pour votre corps et vos performances : un run du matin ou une séance de running le soir ?

Chacun a ses propres habitudes lorsqu’il s’agit de faire du sport et surtout pour courir.

Si certains préfèrent le soir où l’organisme répond mieux aux sollicitations, d’autres privilégient le matin avec les premières lueurs du soleil.

Les performances sont meilleures le soir qu’en début de journée

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06 novembre 2024

progresser en running

Comment s’améliorer en running et être plus performant

Ce n’est pas à vous que je vais apprendre l’importance du sport et en particulier du running.

Toutefois, aussi bonne soit la pratique du sport, même pour un coureur de bon ou de haut niveau, il y a des règles à respecter.

Si vous êtes un débutant en running, ces 7 règles, ce sont de bonnes pratiques sportives à suivre bien sûr dès le début.

Mais aussi des règles de vie que l’on a tendance à négliger et qui peuvent venir à nuire à votre vie de coureur.

Voici quelques notes de sagesse toujours bonnes à prendre.

 1  La régularité
 2  Ecoutez son corps
 3  10 %
 4  Le running ce n’est pas tout
 5  Bien récupérer
 6  Focus sur votre objectif
 7  Le reste de votre vie

1- La régularité

On fait du sport pour s’améliorer, on fait du sport pour se maintenir en forme. Mais pour réussir ce pari, il convient tout d’abord de faire du sport de façon régulière. Votre corps a besoin de cette régularité. Si vous courez tous les jours une semaine et une seule fois la suivante, cela ne servira à rien.
Il faut au minimum s‘astreindre 2 à 3 séances dans la semaine. Ces séances seront de préférence à heure fixe et proche de votre domicile ou travail pour ne pas se démotiver.
Dans la même semaine, il est toutefois bon de varier les types d’entraînement comme l’endurance une fois, le fractionné ou les allures variables ensuite.
C’est le cas de tous les entrainements Jiwok qui vous proposent des séances différentes chaque semaine.

2- Votre corps vous parle, écoutez-le

Faire du sport, c‘est avec l’intention de faire du bien à son mental mais aussi à son corps. Mais il arrive que celui ci peine avec votre activité physique. Le running est éprouvant pour le corps avec environ 800 à 1.000 pas au kilomètre.
Votre corps va exprimer sa fatigue et il convient donc de repérer des signes comme les troubles du sommeil, la perte de poids, l’accroissement du rythme cardiaque au repos ou bien encore des infections bénignes mais à répétition.
Si votre corps vous parle via ces signaux, c‘est que la fatigue est excessive. Il convient alors de vous ménager avant qu’elle n’entraîne des blessures qui seront plus dommageables.

3- Règle des 10%

Dans le monde de la course à pied comme dans les autres, on aime bien cadrer les éléments avec des données mathématiques. Le running n’y échappe pas avec ce que l’on appelle la règle des 10%.
L’idée est là à nouveau de maintenir votre corps dans un bon état de forme pour éviter les blessures qui surviennent facilement chez le runner.
Lorsque vous voulez progresser, il ne faut pas le faire par palier de plus de 10 %. Ainsi, si la première semaine vous avez parcouru 15 kilomètres, il ne faut pas faire plus de 16,5 kilomètres la semaine suivante. La progression peut sembler lente mais qui veut voyager loin ménage sa monture.
Le coach Jiwok prennent en considérant cette règle pour réaliser nos entrainements.
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About the author

Denis Dhekaier est le co-fondateur de Jiwok, spécialiste du coaching en running, course à pied, vélo d'appartement, vélo elliptique, tapis de course, de marche, natation. Find me on Google+

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