(crédit photo : Melissa Maples )
Aujourd’hui c’est le témoignage d’une Jiwokeuse vivant en suéde et qui a participé pour la première fois au Marathon de Paris.
Un très jolie témoignage qui prouve que la course à pied est vraiment fait pour tous les ages .
Bonne lecture
« Bonjour Denis,
On ne s’est pas rencontré .. mais c’est de ma faute faute .. mea culpa. Néanmoins le marathon fut une fête pour la grande-mère de Suède.
C’est toujours avec fébrilité que je lis toutes les newletters. La dernière “je cours 30 minutes” me rappellent quelques souvenirs, pas très lointains (2006) lorsque j’ai enfin pu courir plus d’un kilomètre (ne riez pas, mais les heures assises dans l’avion ou le restaurant ne favorisent pas la bonne forme). Un kilomètre en avril, je peux donc plus. Je m’inscris pour une compétition en septembre (10 km terrain) – 1 heure 06. Le virus … m’a atteint.
L’an dernier, le marathon de Stockholm, 26 degré, je n’oublierai jamais l’émotion que j’ai ressentie en arrivant dans le stade (en 4h39’). Le virus ne me lâche pas … la culture française me manque. Et me voilà à Paris. Entretemps, j’avais découvert Jiwok et c’est Jiwok qui m’a accompagné pendant tout l’hiver lors de mes entrainements, dans le froid et l’obscurité.
J’attends avec impatience Berlin en septembre.
Paris fut un régal … voila mon récit
Marathon de Paris
Ce fut une très belle aventure pleine d’émotions.
L’ambiance y était déjà la veille au soir ; dans tous les bistrots situés aux environs de l’Arc de Triomphe on y parlait toutes les langues (très peu le français d’ailleurs) et on y mangeait des pâtes. Les touristes du jour n’étaient autres que des marathoniens, un peu stressés mais voulant profiter au maximum de ces moments particuliers avant une grande course.
L’Arc de Triomphe ne se reconnaissait plus le matin du 5 avril : pas de voitures mais des milliers de piétons silencieux et concentrés, des clics, clics, flashs, derniers bisous,…
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