17 septembre 2014 Publié dans Etudes scientifiques / médicales - blessures : santé et sport, Perdre du poids, courir, nager, les dernières actualités
Nous avons réalisé une infographique humoristique qui comparent l’état de votre cerveau après une bonne séance d’entrainement running et votre cerveau après une prise de drogue !
Qu’est-ce que le plaisir du coureur ?
C’est cette sensation de bien-être résultant de la libération d’endorphines dans le cerveau. Les études ont démontré que le plaisir du coureur est très proche dans la forme que l’euphorie induite par l’usage de drogues !
Comment ça marche ?
Les drogues comme la course activent le mécanisme de récompense des récepteurs opiacés et de dopamine, cela vous fait donc un bien fou !
Qui prend du plaisir ?
5 millions de consommateur de stupéfiants en 2013
8,5 millions de coureurs en 2013 (sources)
Comment la course agit-elle sur le cerveau ?
Courir entraîne la création de cellules nerveuses et favorise la vascularisation. Une pratique régulière permettrait également d’améliorer les capacités de décision, de planification, d’organisation et conduite de tâches intellectuelles simultanées.
La course peut-elle être addictive ?
En fait ; oui. Au même titre que la poussée d’endorphine liée au plaisir, un sentiment de panique peut apparaître si le coureur systématique est privé de sa distance habituelle. Un chercheur suggère qu’il serait possible de remplacer le comportement de prise de stupéfiants par une gratification plus naturelle… comme le running !
Info Bonus
Des listes de vocabulaire sont mémorisées 20% plus vite après une course.
Un trip sous marijuana réduit quant-à-lui considérablement ce vocabulaire avec la plupart des mots remplacée par « Genre », « Mec » ou « Ouais ».
Les adultes pratiquant une activité physique régulière connaissent une augmentation de 2% du volume de leur hippocampe – région liée à l’apprentissage et à la mémorisation – par rapport aux inactifs.
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