06 septembre 2023 Publié dans Perdre du poids, courir, nager, les dernières actualités
L’endorphine: l’hormone du bonheur pour le coureur et le sportif
Dernièrement, je vous avez présenté notre belle infographie qui illustrait les 10 biens faits de la course à pied sur votre corps.
J’espère que cela vous a convaincu de mettre (ou remettre) vos baskets et d’aller courir.
Si ce n’est pas encore le cas, voici de nouveaux arguments qui devraient vous aider à vous décider à franchir le pas.
En effet, le running est, en plus d’être une vrai source de bonheur pour votre corps, une joie pour votre cerveau.
Mais c’est également le cas de tous les sports d’endurance.
Vous courez ? vous pratiquez du vélo d’intérieur ? vélo elliptique ? Vous nagez ? et vous êtes heureux après l’effort ? c’est grâce à votre cerveau 🙂 .
En effet, votre cerveau libère des endorphines pendant et après l’exercice physique.
Cette morphine endogène (produite par l’organisme) possède une structure moléculaire proche de celle des opiacées. (oui oui, vous vous droguez au sport)
Une fois sécrétée, elle se disperse dans le système nerveux central, les tissus de l’organisme et le sang.
La quantité d’endorphines augmente pendant l’exercice et atteint cinq fois les valeurs de repos, 30 à 45 minutes après l’arrêt de l’effort.
Le taux d’endorphines est directement lié à l’intensité et à la durée de l’exercice, mais aussi à l’activité physique.
Les sports d’endurance sont les plus endorphinogènes:
-le vélo,
-les sports en salle, type cardio training (rameur, tapis de course),
-les activités à efforts fractionnés,
-l’athlétisme,
–basket ou le handball.
Il ne suffit pas de courir pour goûter aux endorphines: il faut maintenir l’effort pendant une demi-heure gardant un rythme dit confortable en endurance, c’est à dire supérieur à 60% de ses capacités respiratoires.
C’est bien tout ça, mais les endorphines ont quels effets sur vous ? Euphorie , anti-angoisse, anti-fatigue….
Ainsi, des sports comme le running vous aide à évacuer votre stress, relâchez les tensions, oubliez vos problèmes. Vous ressentez une sorte de plénitude.
Allez hop, tout le monde prend son short et va courir, faire du vélo, etc…..
(crédit photo : andronicusmax’s )
L’endorphine: l’hormone du bonheur pour le coureur et le sportif Fajr Breeze - Yuxx :
à 16:40
Récapitulatif, sport = bonheur :D Séverine :
à 13:47
Heyyyyyyyyyyyy les endorphines moi, c'est mes copines!!!! lol J'avoue que quand j'ai commencé à courir, je ne ressentais pas du tout ce que je ressens aujourd'hui après mes séances de footing!! Alors effectivement, il faut bien 30 minutes avant de ressentir le bénéfice de ses gentilles hormones!!!! Je deviens une droguée du footing rien que parce que pendant et après l'effort, j'ai l'impression de flotter au dessus des éléments... malgré l'effort physique que le jogging demande, je me retrouve zen, heureuse, épanouie.... Je n'arrêterais de courir pour rien au monde aujourd'hui et pourtant, il y a encore 1 an et demi, je n'aimais pas ça du tout!!!! C'est finalement à la portée de tout le monde et c'est le meilleur des anti-stress!!!! Virginie :
à 21:51
Bonjour, Je ne voudrais pas jouer les rabats-joie mais je ne ressens pas du tout ces effets et je le regrette beaucoup. Je me suis mise au footing depuis mars dernier à raison de 2 fois par semaine entre 45 min et 1 h à chaque séance (j'étais déjà sportive avant). Je cours avec 1 groupe dont les personnes pratiquent depuis quelques années et j'avoue que je n'ai pas leur aisance, même si je suis le rythme c'est parfois très difficile pour moi. De plus, depuis quelques semaines j'ai une douleur dans les ischios, comme s'ils étaient contractés en permanence. Donc pour moi courir n'est pas synonyme de bonheur mais j'espère que ça finira par le devenir, c'est pour cela que je persévère. Amitiés. karine :
à 00:07
Virginie, Ce n'est que mon avis, mais peut-être cela vient-il du fait que tu cours avec un groupe qui n'a pas le même niveau ou du moins la même aisance, et que bien que tu suives le rythme, tu es peut-être au-dessus du tien et c'est pour cela que tu ne ressens aucun plaisir. Tu es comme toutes ces personnes (dont je fais partie) qui court trop vite, et pour qui courir est synonyme de souffrance, même si l'on s'accroche. Depuis Jiwok, je n'ai plus ce problème : j'ai réappris à courir et j'aime tellement ça (je suis accro, c'est vrai que c'est comme ça), que j'essaye de convaincre ( un vrai VRP, lol )toutes les personnes qui doutent ou qui ont abandonné. J'aimerai qu'elles ressentent cette satisfaction et pouvoir échanger avec elles nos impressions, les voir heureuses, quoi... (c'est aussi pour ça que j'aime aller sur le site de Jiwok, car je saoule mon compagnon après chaque séance, ce qui n'est pas le cas ici, où je lis plus que je ne parle, et c'est un plaisir de voir les gens s'épanouir aussi. Suivre un groupe est toujours "dangereux" car on a tendance à s'accrocher, on est entrainé, et parfois à notre détriment. Ça m'est arrivé l'année dernière, et j'ai vite laissé tomber, je ne voulais pas transformer mon plaisir en souffrance, tout ça pour avoir l'impression d'être à leur hauteur (ce qui n'était franchement pas le cas) bien que ce groupe ait été très prévenant et compréhensif. J'ai compris que je finirais vite par me dégouter et ai continué mon entrainement toute seule. Je rééssaierai peut-être plus tard quand j'aurai l'aisance de courir à leur rythme tout en discutant... Voilà, j'espère que mon commentaire a pu t'éclairer car il serait dommage que tu passes à côté de ces fameuses endorphines ;) Karine Séverine :
à 07:54
Effectivement, j'aurais peut-être du préciser que je cours seule!!! J'ai commencé le footing à plusieurs (débutants) mais avec Jiwok, donc je ne me suis jamais trop fait violence (un peu parfois quand même!!lol) MAIS je n'ai jamais ressenti les effets des endorphines ou très rarement... J'ai decidé d'arrêter de courir en groupe parce que les blablablas ne me convenait pas, parce que je voulais me concentrer sur ma course et parce qu'à plusieurs je n'atteignais pas mon objectif....parce que j'en avais besoin surement! Et là, le bonheur de courir s'est véritablement fait sentir de suite!!!! Et par contre, je n'ai aucune envie de réintégrer un groupe, ça gacherait mon plaisir je crois!! Puis bon, j'ai pas le niveau pour intégrer un groupe déjà bien entrainé ;)!! Voili voilou!!! Séverine :
à 07:57
Virginie, si je peux te conseiller d'essayer d'aller courir seule, en ne forçant pas trop justement, je pense que tu devrais ressentir les bienfaits de ce sport!!! Mais soigne tes ischios!!!! La moindre douleur devient vite un calvaire quand on cours!!! Virginie :
à 16:19
Merci les filles pour votre soutien, vos conseils me font plaisir et vont me faire font réfléchir. Bonne continuation à toutes les 2. Caroline :
à 19:35
Ben oui, je trouve ça fou vu mon parcours de filles pas sportive du tout. Au bout de 25 minutes environ à galérer un peu, au bout d'un moment, je deviens la reine du parcours, la déesse de la foulée... oui dans la tête pour la "fatigue" du début de la course s'envole. je sens l'effort mais j'ai l'impression que je pourrais le supporter des heures. Ha que c'est bien la drogue licite qui ne fait que du bien au corps... Séverine :
à 22:20
Ben de rien Virginie!!! contente d'avoir pu partager un peu mon ressenti à moi!!! Caroline, c'est exactement ça!!! sauf que au bout d'une heure, si je tombe sur une méchante cote dans mon parcours, je peux plus!! lol La fatigue est quand même là!!! pas celle des premières minutes non!!! celle qui montre qu'il manque du carburant dans la machine^^ lol!!!! faudra que je songe à un ti remontant tient pour courir plus peut-être??? Mais OUIII j'adoore cette drogue là moi!!!! D_ :
à 19:12
Salut à toutes et à tous. J'ai commencé à courir il y a environ 3 ans. Au début je m'obligeais 1 run par mois, l'effort m'était difficile, je tenais à peine 30 mins. C'était plus une corvée qu'autre chose. Il y a environ 1 an, je fais des sorties avec un collègue qui courait quelques fois pour maintenir sa forme. Nous faisions 45 mins avec 2 pauses de 5 mins. Puis nous avons atteint les 1h avec 2 pauses, puis 1h sans pause, puis 1h30 et finalement nous pouvons tenir 22 km en moins de 2h. Nous courons 2 fois par semaine minimum (dimanche matin et le mercredi matin avant d'aller au taff) et faisons des courses (10km, cross, semi). Depuis, je ne peux plus m'en passer. J'ai besoin de me battre contre moi-même, de ressentir cette chaleur dans mon corps après un run ainsi que cette sensation de flottaison. Par contre, 8h après un effort violant, je me sens mal, le moral en baisse et j'attends avec impatience la prochaine sortie. Je suis actuellement à 5-8h de sport (CAP + aviron) par semaine et plus le temps passe et plus je suis en manque. Gil Greenlow :
à 17:42
un site tres bien ficelé Demetrius Lenters :
à 17:43
Super site Gallois :
à 18:04
Un petit mot pour signaler que, la science " avançant " en courant ( elle aussi ^^ ), on est en train de découvrir ( c 'est désormais avéré ) que les " endorphines " n'y sont finalement pour rien ! OK, elles bloquent la douleur, mais de fait, ses molécules sont trop grosses pour pénétrer le cerveau ! Il s 'agirait en fait de méso ( produites par nous même ) canabinoïdes !C 'est grâce à elle, nos petites euphories, notre humeur stable et ouverte, e le petit sourire irrepressible qui nous vient aux lèvres après une bonne trentaine de minutes de " lutte "... Rendons à César...Bref, ce post n 'est plus d ' actualité !!! sergeiPer :
à 19:51
11 3perishes :
à 22:34
3oppress Laisser un commentaire