Il me semblait intéressant de le partager avec tous les Jiwokers.
Par ailleurs, si vous aussi vous avez vos conseils n’hésitez pas !
Bonne lecture :
Mes “conseils” perso pour garder la forme en hiver :
1- S’inscrire dans une salle de gym.
Pourquoi : accès à du matériel de qualité (velos, tapis de course, machine musculation), coaching sportif, moins de risque de blessure, aspect motivant de l’abonnement pré-payé > si on n’en profite pas on “perd” sa mise… de manière générale j’ai un abonnement toute l’année, ce qui me permet de combiner des séances rapides sur tapis de course avec mes séances de musculation.
2- Jeter un oeil au programme des “cross” qui se déroulent souvent en automne-hiver.
Garder un objectif compétition est aussi une manière de rester motivé. Lire la suite »
Avant de plonger dans les détails des semelles, j’attire votre attention sur le fait que vous pourriez vous dire « Des semelles pour faire du sport, j’en ai pas besoin…. » Il est fort possible que vous en ayez besoin mais vous le savez pas encore… Je vous conseille donc vivement la lecture de cet article.
1- Pourquoi porter des semelles fabriquées par votre podologue dans vos chaussures de sport ?
Vous êtes nombreux à vous poser des questions sur les semelles à mettre ou non pendant vos séances d’entrainement, voici un article qui pourrait vous éclairer.
« Aujourd’hui beaucoup de zones d’ombres existent autour de la podologie et des semelles orthopédiques, à travers cet article nous allons tenter d’éclaircir certains points et effacer certains stéréotypes.
Le stéréotype majeur est le suivant : « les podologues ne s’occupent que des pieds. »
Cette assomption que beaucoup de personnes font est complètement erronée, la base de travail du podologue est le pied et ce dernier lui permet d’agir à distance sur la cheville, le genou, la hanche et le dos.
Le pied a un rôle primordial dans l’équilibre biomécanique du corps humain.
Chaque étage articulaire peut être rééquilibré, dévier ou encore ascensionner par quelques éléments judicieusement placés sous la plante des pieds.
Prenons un exemple tout simple : qui n’a jamais eu mal au pied à cause de ses chaussures obligeant une démarche différente entrainant des courbatures dans la hanche ou même des douleurs au dos. La position du pied sous le corps influe sur tous les muscles et les articulations sollicités lors de la marche ou de la course.
A l’inverse il est bien évident que les positions du genou, de la hanche et les déformations de la colonne vertébrale ont également une grande influence sur le comportement du pied. Lire la suite »
Les sportifs de nos jours ont de quoi être totalement perdus devant le nombre croissant de styles de chaussures de running qui apparaissent sur le marché.
De plus, il est très important de bien choisir ses chaussures car une chaussure mal adaptée augmente fortement le risque de blessure.
Nous allons maintenant nous attaquer au cœur du problème.
Voici mes 7 conseils pour trouver les chaussures de course à pied adaptées à vos pieds, votre corps et votre foulée.
A travers cet article long et détaillé, vous serez tous sur votre paire de chaussure de running que vous avez aux pieds pendant vos séances d’entrainement Jiwok!
Quand je vous dis tout, c’est vraiment tout sur tout !
« Actuellement, il devient de plus en plus difficile de choisir « LA » bonne paire de chaussures de course, nous sommes totalement inondés d’informations souvent peu fiables voir même contradictoires.
Il est presque autan compliqué de choisir sa paire de chaussure que de choisir une voiture ou une maison, pour le sport qui se veut être le plus simple du monde, c’est quand même un comble.
Dans cet article, nous allons uniquement nous concentrer sur les composants de la chaussure censés avoir une influence sur notre foulé et notre biomécanique (sachant que la majorité des études en laboratoire de mouvement tendent à montrer que la plupart des sportifs ne réagissent pas à la chaussure comme le souhaite l’équipementier).
Pour choisir sa paire de chaussures, il y a quelques paramètres évidents et importants à prendre en compte tel que : son poids, ses performances (distance, fréquence, vitesse…etc), le type de terrain utilisé, son type de foulée et son type «foot strike» (partie du pied entrant en contact en premier avec le sol lors de la phase d’appui). Lire la suite »
Minimalisme running ou aussi appelé Barefoot Running – Chaussure minimaliste
Vous êtes nombreux à vous poser des questions sur le « Barefoot Running » et comme il y a un accroissement de la pratique du Barefoot en France, je vous re-publie cet article.
Le barefoot running est une discipline venant des Etats-Unis et qui consiste à pratiquer la course à pied (running) pied-nu (barefoot) ou avec des chaussures minimalistes.
Notre podologue du sport a testé pour vous cette pratique.
Cet article a pour objectif de mettre en lumière les inconvénients et les bienfaits de cette pratique, il faut savoir à ce jour qu’il n’y a pas d’études approfondies sur le sujet. Il y aura donc une approche très personnelle de cette discipline.
Mon 1er contact avec le barefoot running fut très mauvais et remonte à août 2010 lors d’un voyage à New York. Lors d’une promenade dans Central Park je remarque de nombreux coureurs qui portent des chaussures ressemblant à des gants pour pieds, ce sont les fameuses chaussures minimalistes.
Curieux et un peu sportif moi-même je m’arrête à la première boutique de sport que je trouve et je m’en achète une paire.
Le soir même je prends mes chaussures minimalistes pour une petite course, je file le long de la Hudson River et là c’est le drame.
Je suis obligé de m’arrêter au bout de 20 minutes à cause de douleurs intenses dans la plante du pied (j’ai les pieds plats et je souffre d’aponévrosite plantaire si je ne porte pas mes semelles orthopédiques pendant le sport).
Je rentre donc à l’hôtel plutôt déçu et me disant que le barefoot running ce n’est pas fait pour les pieds plats.
Pendant la nuit, souffrant du décalage horaire, mon escapade ratée me turlupine beaucoup. Je prends donc mon ordinateur décidé de voir ce qu’Internet peut m’apporter sur le sujet, tout d’abord sur les forums je suis content de constater que je ne suis pas le seul à avoir eu ce problème.
En approfondissant ma recherche, quelle ne fut pas ma surprise de voir qu’un des podologues du sport américain les plus connus au monde avaient publié un article sur le fait que le barefoot running était excellent pour les pieds plats et que cette pratique pouvait même permettre de restructurer l’arche interne du pied grâce à la mise en tension des muscles de la plante du pied pendant la course pied nu.
Le petit bémol est que pour pouvoir apprécier le barefoot running encore faut-il avoir la bonne technique de course.
2) La technique de course
Mon problème étant que je cours (comme 75% à 80% des coureurs) en atterrissant sur mon talon et en ayant l’habitude que l’impact de mon corps soit amortit par les matériaux amortissant qui sont mis dans le talon de mes chaussures de sport.
Cette technique de course qui en soit n’est pas « naturelle » est incompatible avec le port de chaussure minimaliste et cela déclenche des pathologies comme l’aponévrosite plantaire ou pire des fractures de fatigues liées à l’impact de mon pied au sol.
Le barefoot runner expérimenté sait pertinemment et à juste raison quand lorsqu’il court il doit limiter au maximum le contact talon/sol, il doit atterrir sur la plante du pied voir même directement sur l’avant pied. La longueur de la foulée doit être raccourcie et la cadence doit augmenter.
Les pros barefoot running tiennent comme discours que nous sommes biomécaniquement conçus pour courir de cette manière et que l’amortissement naturel lié au geste précis que font la jambe et le pied est suffisante pour éviter les douleurs.
De plus le fait de ne pas atterrir sur le talon mais de dérouler la foulée de manière plus fluide en atterrissant sur l’avant pied permet de disperser les contraintes mécaniques ascendantes et donc d’épargner vos articulations sus jacentes notamment les genoux.
Force est de constater que d’après les études biomécaniques récentes; ils ont tout à fait raison de penser cela. Lire la suite »
Les sportifs de nos jours ont de quoi être totalement perdus devant le nombre croissant de styles de chaussures de running qui apparaissent sur le marché. De plus il est très important de bien choisir ses chaussures car une chaussure mal adaptée augmente fortement le risque de blessure.
Le premier conseil va sembler évident mais n’est pas toujours appliqué : prendre des chaussures avec la bonne pointure et dans lesquelles vous êtes à l’aise, la pointure de la chaussure de sport n’est pas toujours représentative de votre pointure habituelle donc essayez toujours les chaussures et n’hésitez pas à faire quelques petites foulées dans le magasin.
Il faut ensuite choisir ses chaussures en fonction du terrain sur lequel vous courrez, sur des terrains meubles il vaudra mieux porter une paire de chaussure plutôt rigide et crantée augmentant la stabilité du pied en revanche sur une surface dur comme le bitume il faudra prendre une paire de chaussure avec de l’amortit (semelle épaisse) pour protéger au maximum les articulations des chocs répétés. Attention « trop d’amortit tue l’amortit » et augmente les chances d’entorses et de tendinites.
Nous allons maintenant nous attaquer au cœur du problème et parler des 3 grands types de chaussures qui s’affrontent :
– Les chaussures universelles : ce sont les chaussures les plus adaptés à la plupart des sportifs. Elles comportent un bon amortit et une bonne souplesse tout en étant suffisamment rigide pour stabiliser correctement le pied. De plus elles sont également les plus adaptées pour accueillir les semelles orthopédiques. Ces chaussures sont celles que les podologues recommandent le plus puisque ce sont celle qui s’adaptent le mieux aux différentes situations qu’un jogger puisse rencontrer.
– Les chaussures pronatrices : le mouvement de pronation du pied consiste à soulever le bord externe du pied, la chaussure aura donc tendance à charger la partie interne du pied et à décharger la partie externe, on parle également de chaussure valgisante. Ce type de chaussure ne me semble pas être très adapté pour une quelconque pratique sportive, forcer le pied dans une position assez inhabituelle pendant le sport semble être le meilleur moyen de déclencher des pathologies telle qu’une aponévrosite plantaire (douleur de la plante du pied). Il faut faire très attention aux soit disant vendeurs de chaussures spécialisés en sport et à leur jargon très marketing. Le fait d’avoir un pied pronateur ou supinateur (ce qui en soit ne veut pas dire grand-chose non plus) n’est pas forcément révélateur de quoique ce soit, de plus le fait de mettre le pied en supination ou pronation a bien évidemment des conséquences biomécaniques sur les étages articulaires sus jacent (genou, hanche et dos).
– Les chaussures supinatrices : ces chaussures entrainent donc un mouvement contraire à la pronation c’est-à-dire un soulèvement du bord interne du pied, on a alors décharge de la partie interne du pied et charge de la partie externe (excellent moyen de se faire des entorses de cheville). Encore une fois cette position pour le pied ne me parait pas être très judicieuse non plus, elles peuvent également déclencher plusieurs pathologies notamment au niveau du genou (dans le cas d’un génu varum qui est très masculin).
L’usure de vos chaussures peut être révélatrice de beaucoup de chose, une « bonne usure » est la suivante : usure postéro externe modérée du talon et usure importante sous la 1ère tête métatarsienne et le gros orteil. Toute autre usure est due à une déformation architecturale du pied qui pourra être corrigée par une paire de semelle orthopédique.
Pour conclure le meilleur moyen de ménager sa monture pendant le sport est de prendre des chaussures universelles et de faire des paires de semelle orthopédique spéciale sport en cas de déformation architecturale ou de pathologies.
N’oubliez pas que vos chaussures ont une durée de vie d’environ 1500 km à 2000 km.
Commencer à courir : Débuter la course à pied et obtenir des résultats rapidement.
Vous avez décidé de reprendre le sport mais il faut savoir que l’entraînement physique demande une certaine discipline que votre corps doit réapprendre.
La course à pied est souvent un sport choisi par la majorité des personnes qui veulent prendre soin de leur santé. Des imprudences sont souvent commises ce qui conduit les sportifs débutants à capituler avant l’heure. Il est tout à fait possible de commencer à courir et de finir par faire du trail extrême en forêt. Les coachs sportifs ne le répètent jamais assez pour débuter la course à pied et obtenir un résultat dans le running débutant, on doit s’entraîner progressivement.
Progresser selon son rythme
La volonté de commencer à courir ne fait pas le résultat. Il faut suivre un entraînement progressif pour obtenir un réel résultat. Le coureur débutant doit comprendre que seule la régularité des séances donne un résultat dans le temps. La prise de mesure de sa fréquence cardiaque est capitale pour comprendre son rythme. Il est conseiller de s’équiper d’un appareil de cardio fréquence pour connaître le rythme de ses pulsions et adapter sa course à ses capacités. Lorsque l’on a décidé de débuter la course à pied la faculté de respiration ne doit pas être gênée pendant l’effort. Si on commence à s’essouffler c’est que le rythme est trop rapide.
La tenue du runner débutant
Il est inutile de chercher à se procurer du matériel complexe ou de haut de gamme. On a juste besoins d’adapter sa tenue au temps et d’avoir de bonne chaussure de course à pied. Lorsqu’il fait froid, il vaut mieux mettre un bonnet et des gants car les extrémités se refroidissent plus vite que le reste du corps et l’on peut avoir à stopper sa course en raison du froid. Les chaussures doivent avoir une semelle épaisse qui amortit les coups répétés au genoux. Il faut prendre soin des articulations pour courir longtemps. On conseille que la chaussure permette que le pied puisse reculer dans la chaussure au moment de la foulée. Il est fortement conseillé aux femmes de porter un soutien gorges sportif qui leur assure un maintien constant pendant la course.
Les bons points pour commencer à courir avec un plan d’entraînement
L’astuce pour repérer un bon plan et débuter la course à pied dans les meilleures conditions est d’adopter un plan qui alterne la marche et la course. En suivant son entraînement sur un carnet pour visualiser son effort, on a aussi la possibilité d’adapter son plan à sa vie quotidienne sans contrainte. Il faut penser à faire des exercices de gainage pour que les lombaires ne soient pas douloureuses pour commencer à courir sans craindre un incident. Il est inutile de forcer la performance au-delà de ses propres capacités en tant que coureur débutant. Le souffle doit se réguler sans faire d’effort. Le travail des muscles doit passer par l’étirement avant et après la séance de course. Les séances doivent être organisées loin des temps de sommeil et de repas.
Denis Dhekaier est le co-fondateur de Jiwok, spécialiste du coaching en running, course à pied, vélo d'appartement, vélo elliptique, tapis de course, de marche, natation.
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