Pourquoi l’alcool est mauvais pour le coureur et les sportif ?
Si vous vous êtes lancer dans le défi « Janvier Sec » (Dry January dans la langue de Shakespeare) qui consiste à s’abstenir de toute consommation d’alcool durant le mois de janvier (même lors de diner entre copains…), alors je vous conseille la lecture cet article à partir de février.
Quand je dis « boire ou courir », je parle évidemment d’alcool et non pas d’hydratation pendant après vos séances d’entrainement.
Le sport et l’alcool ne font pas bon ménage lorsqu’il s’agit de pratiquer un entrainement ou une compétition.
Bien rares sont ceux qui penseraient à suivre une séance de running (ou de fitness) soûl.
Mais on pense moins au fait que la consommation d’alcool, à table ou de façon plus festive, est mauvaise pour la pratique du sport sur le moyen et long terme.
Mais puisqu’il reste bien difficile de se priver d’une bonne bouteille ou d’une occasion de faire la fête, voyons un peu comment se ménager au préparer pour aller courir dans de bonnes conditions.
1 | ✅ La réhydratation |
2 | Le choix des alcools |
3 | Le choix de l’abstinence |
4 | Une consommation responsable |
5 | L’alcool n’est pas bon pour l’ossature |
6 | Gérer son sommeil |
1-La réhydratation
L’alcool déshydrate, c’est bien connu. Les habitués des soirées vous diront même qu’il faut alterner un verre d’eau ou de soda avec un verre d’alcool. En effet, la déshydratation se fait sentir dès l’absorption d’un alcool supérieur à 4°.
Dès lors, il convient de récupérer de sa déshydratation lors d’une séance de course à pied avant même d’entamer une soirée ou un repas où le vin sera servi.
Ainsi, en remettant son corps d’aplomb, on sentira moins les effets de la déshydratation causée par l’alcool.
Il reste aussi conseillé de bien boire de l’eau entre chaque verre d’alcool de façon à limiter en cours de soirée la déshydratation.
2-Le choix des alcools
Même si sans alcool la fête est plus folle, on aime bien boire un verre de temps en temps. Il y a justement quelques petites choses à savoir concernant le choix de ses alcools. En deçà de 4° d’alcool dans le liquide, les effets de la déshydratation ne se font pas sentir.
C’est vrai que le choix se limite au cidre qui est un choix moyen en raison du taux de sucre.
Au delà de ce taux, plus il y a d’alcool, plus la soif se fait sentir. En conséquence, surtout pendant une période de sport intense, il faut se militer aux alcools les moins violents et préférer une bière légère à une bouteille de vin.
3-Le choix de l’abstinence
L’abstinence en terme d’alcool concernant les grands sportifs n’est en rien un secret. Mais elle doit concerner aussi ceux qui se trouvent dans une grosse phase d’entrainement ou qui sont en période de compétition. En effet, l’alcool ralentit le processus de récupération musculaire. Or, en période intensive, cette récupération est primordiale pour être en bonne condition.
L’alcool ne fait donc pas bon ménage avec le sport intense et d’autant plus la course à pied. L’alcool est mauvais aussi pour les tendons qui sont placés d’emblée dans un état pro-inflammatoire. En somme, le moindre petit écart de sollicitation de vos tendons peut entraîner tendinites et blessures à cause de la présence d’alcool.
4- Une consommation responsable
Naturellement, personne n’incite à la consommation d’alcool. Elle est toutefois assez inévitable. Si on sait qu’une période intense de sport ou de running est peu compatible avec l’alcool, il convient donc de programmer ses soirées en fonction de son entrainement.
Si vous savez que vous avez dans l’année, admettons durant les fêtes de fin d’année, une période plus légère en sport, c’est l’occasion de moins culpabiliser sur votre consommation d’une bonne bouteille de vin. Celle ci aura moins d’impact sur votre organisme que de jongler entre aller courir et les soirées entre amis.
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