19 juin 2023 Publié dans Perdre du poids, courir, nager, les dernières actualités, Running, jogging, course à pied : conseils, accidents, S'améliorer en course à pied : conseils, entrainements
Vous courez lentement ? Ce n’est pas un problème !
1 | La pensée positive |
2 | Courir ne dépend pas de votre vitesse |
3 | Vous serez toujours plus lent q’un autre coureur |
4 | La lenteur, est ce vraiment un problème ? |
Quand nous avons lancé Jiwok, les premiers entraînements disponibles étaient des entraînements pour débuter le running.
Ces entraînements étaient (et sont toujours) destinés aux débutants qui souhaitent commencer à courir.
Et, j’ai était toute suite surpris par les commentaires de nombreux coureurs débutants « Je suis probablement la personne la plus lente du monde » ou « vous n’avez probablement jamais vu des coureurs aussi lents que moi. »
Peu de choses ont changé au cours des 10 dernières années selon moi. Beaucoup de coureurs, expérimentés ou non, hésitent à participer à une course ou suivre un entrainement.
Lorsque je demande pourquoi, la plupart répondent qu’ils sont gênés par leur vitesse de course trop faible.
Je veux justement vous dire que vous n’êtes pas si lent que vous le pensez, le défaitisme et le manque de confiance en vous, vous empêchent d’exploiter votre vrai potentiel !
Changer votre état d’esprit sur la façon dont vous vous percevez est bien plus important que toutes les séances d’entraînement que vous pouvez faire.
1- La puissance de la pensée positive
Du point de vue de la performance pure, la pensée négative peut vous empêcher d’atteindre votre potentiel. Même si penser que vous êtes lent peut vous sembler être une pensée innocente, chaque fois que vous commencez une conversation par la phrase : « Je sais que je suis lent, mais… », vous conditionnez votre esprit à croire que vous ne pourrez jamais être rapide.
D’innombrables études de psychologie du sport ont prouvé la puissance de la pensée positive et de l’autosuggestion.
Les athlètes qui font dans une séance d’entraînement ou une course avec tout en ayant des pensées positives réussissent beaucoup mieux et de manière plus constante que ceux qui vont s’entraîner avec une attitude négative.
Recommencez à croire en vous avant une séance d’entraînement ou une course. Si vous êtes négatif et manquez de confiance en vous, il vous sera difficile de changer d’état d’esprit.
La pensée positive commence avec la façon dont vous pensez tous les aspects de votre course.
Je comprends qu’il est difficile de changer votre perception de vos capacités de course, alors voici quelques conseils utiles :
2- Quelle que soit votre vitesse, courir reste la même chose
Voici un secret à propos de la course. Le sentiment que vous avez après un record personnel, la satisfaction d’une séance d’entraînement intense bien faite, et la déception d’une mauvaise performance sont des sentiments identiques, quels que soient votre niveau et votre vitesse.
C’est la beauté du running.
Il n’y a aucune différence entre un coureur qui débute et qui arrive à courir 1 heure, un autre qui fait son 10K en moins de 60 minutes pour la première fois ou celui qui le fait en 29 minutes. Les trois travaillaient dur, ont fait des sacrifices pour atteindre leur but, et ont connu les mêmes difficultés.
Cela signifie que tous les coureurs peuvent se soutenir les uns les autres, quelle que soit leur vitesse.
3- Il y a toujours quelqu’un de plus rapide
Sauf si vous êtes Kenenisa Bekele ou Mo Farah, il y a des chances qu’il y aura toujours quelqu’un de plus rapide que vous. La vitesse est relative.
Vous faîtes 10 ou 12 minutes par kilomètre et vous êtes embarrassé à l’idée de dire que vous êtes un coureur parce que beaucoup de gens sont plus rapides. Écoutez ce secret : les coureurs « rapides » pensent la même chose.
L’ancien coureur professionnel Ryan Warrenburg disait récemment qu’il hésitait à se faire appeler coureur « d’élite ». Ryan a couru des 5 Kilomères en 13:43 – je dirais que cette rapidité est largement digne d’un coureur d’élite.
4- Quel est le problème avec la « lenteur » ?
Pourquoi le fait d’être lent a-t-il une quelconque importance ?
Les coureurs sont peut-être la communauté la plus accueillante et chaleureuse parmi tous les athlètes. Je ne connais aucun coureur qui ne ralentit pas lorsqu’il court avec un ami. Pensez-y. Vous préférez courir avec un ami, même si vous devez ralentir pour l’aider à vous suivre.
Par ailleurs, quel que soit votre rythme, vous faites mieux que près de 80 % des gens.
Dans une étude menée des chercheurs américains, moins de 20 % des personnes réalise le niveau d’exercice recommandé par semaine, un quart des adultes ne font aucune activité physique.
Et surtout, lorsque vous débutez le running, courir moins vous permettra de progresser plus vite.
Une fois que vous pouvez recadrer vos pensées et vous focaliser sur votre vitesse et votre potentiel, vous pouvez faire de grandes choses pendant vos entraînements et pendant les courses comme le 10 km ou le marathon.
La prochaine fois que vous voudrez vous remettre au sport en courant ou si vous voulez vous inscrire à une course, mais que vous êtes nerveux concernant votre « lenteur », demandez-vous : « Est-ce vraiment important ? »
Vous courez lentement ? Est ce vraiment important ? Sylvie :
à 20:50
MERCI ! Merci pour cet article qui me remonte le moral et me remotive !! Oui je fais partie de ces gens lents en course (je peine à dépasser les 8km/h…) et j'avoue que je suis un peu démotivée en ce moment et, ne voyant pas de progrès, à la limite de tout arrêter ! Mais après tout, qu'est ce que ça peut bien faire que je sois lente ?? Au moins je cours, doucement, mais je cours ! Véronique :
à 09:20
Et moi que devrais-je dire qui arrive à peine à atteindre les 7km/h, mais après tout le plus important c'est de tenir mon objectif et de me faire plaisir. juliette :
à 11:58
ah ah, moi je fais du 6,5 km/h. mais bon, je suis à 70% de ma FCM en permanence et je cours 1 heure. je suis fière de moi et tant pis si des mecs qui sortent leur chien et se promène marchent plus vite que je ne courre! Denis :
à 08:32
Le plus important c'est de se lancer et de courir peu importe la vitesse ! Vous devez tous être fière de se que vous accomplissez ! Angélique :
à 15:00
Merci beaucoup pour cet article et à Sylvie, Véronique et Juliette : d'un seul coup je me sens bien moins seule :-) Sylvie :
à 17:35
;-) Zou les filles ! On ne lâche rien !! JP :
à 13:30
Les gars aussi peuvent être lents ! Moi je m'entraine régulièrement (2 à 3 fois par semaine) et j'ai du mal à dépasser 8.5km/h. Certes, je n'ai pas un gabarit de coureur de fond, mais comme le dit l'auteur de l'article, ça me freine quand il s'agit de s'inscrire à une course. Le fractionné aide un peu à améliorer la vitesse, mais je suis prudent avec cet exercice qui demeure assez violent (je ne suis plus tout jeune) Par contre, s'agissant de la communauté des coureurs, je metrrai un bémol. Alors que je surfais sur un Forum spécialisé pour voir les temps du marathon de Paris, j'ai assisté à des échanges qui disaient en substance : "4hr tu trottines, à 4h30 tu randonnes..." Que dois je penser, moi qui au mieux de ma forme et à condition d'aller jusqu'au bout peut espèrer un 5h30/6hr ? Ceci étant, le plus important, c'est de faire de l'exercie physique et en ce sens, lent ou pas, peu importe ! JP 2 :
à 09:28
bah on s'en fiche que tu mettes 6h à faire un marathon, c'est déjà génial de le finir, personne n'a à dire là dessus ! le plus embêtant c'est la moto/voiture balai qui est juste derrière toi !! mais je m'en fiche, je fais ma course en fonction de mes capacités, et laisse donc dire les fats et les prétentieux ! tant mieux pour eux ! Julia :
à 12:18
Et bien cet article c'est tout à fait moi ! J'ai eu du mal à débuter la course car j'avais honte de ma façon de courir et d'être dépassé par tout le monde. J'avais l'impression que tout le monde me regardait et se moquait de moi. Et puis, je me suis bougée et j'ai fait mon premier 10 km toute seule, et j'ai finit dans les dernières avec des petits qui me dépassaient à fond la caisse. Mais j'étais fière de moi. Puis, je me suis inscrite au semi de Paris l'année dernière en 2h30... donc j'étais encore dans les derniers, mais tant pis, ça me fait marrer maintenant... cette année c'était le marathon en 5h27 !!!! et même si c'est lent et bien ma satisfaction et ma fierté sont les mêmes que n'importe qui !!! car au fond, ok je suis lente mais j'ai fini !!!! et très peu de personnes peuvent dire la même chose... et voilà, je continue à mon rythme ma course, car c'est vrai le plus beau dans ce sport c'est cette ambiance et cette entraide entre coureurs... et puis au fond tout le monde s'en fiche du temps de chacun... c'est juste entre toi et toi ! josiane cailly :
à 13:33
ça fait du bien au moral de lire un tel article ! Je cours depuis plus de deux ans et ma moyenne est de 9.5 km/h. Pas assez pour m'intégrer à un groupe et ça me décourage un peu de courir toujours toute seule ! Je voies qu'au final, on est un groupe de sportifs, lents d'accord, mais sportifs quand meme , et ça me motive à continuer ! Bon running à tous ! Agnès :
à 13:40
Bonjour à tous et toutes, Ca fait du bien de lire cet article et de lire vos commentaires à chacun. Je me sens moins seule. J'avais le sentiment d'être la seule à courir lentement ; en tout cas autour de moi, c'est le cas ! Alors comme je veux pas embêter... je cours seule la plupart du temps. Ca me redonne le moral en tout cas. Je vais persister :-) Merci MASPOURQUET Catherine :
à 14:52
Merci à toutes et tous pour vos témoignages. J'ai commencé à courir à plus de cinquante ans, avec un surpoids, en n'ayant jamais pratiqué la course à pied de ma vie. Autant vous dire que j'ai commencé à trottiner à moins de 5km/h. Après un an et demie de pratique trois fois par semaine, je ne cours toujours qu'à 6,5 voir 7 km/h de moyenne. Cela ne m'a pas empêché de m'inscrire à des courses de 5 km que je finis dernière, l'ambulance sur les talons (c'est quand même un peu dur mentalement) mais en améliorant mon temps à chaque fois. Ça fait du bien de savoir qu'on n'est pas seule dans ce cas-là. Alors encore merci et bon courage, on lâche rien ! Laurence :
à 17:48
Hello tout le monde et un grand merci pour cet article Je me sens moins seule aussi du coup et je persévère Je progresse de jour en jour et suis fière de moi Courage à tous J'ai oublié de vous dire, j'ai commencé à 6 km/h il y a un an et j'en suis à 7,4km/h aujourdh'ui Ray :
à 05:24
Salut tous ! Clairement, vite ou lentement, on s'en fiche, on court. En ce qui me concerne, a 4O ans passés, je cours car "c'est gratuit" et j'aime pas specialement ca. Mais plus d'excuses pour ne pas se bouger et, en théorie, peu importe la performance. Je dis "en théorie" car quel que soit l'état d'esprit avant la session, je n'arrive jamais à me modérer. "aujourd'hui, je pète les scores" : je commence tranquille et j'augmente le rythme petit a petit pour aller au bout de ce que je peux. "aujourd'hui, j'y vais cool, en mode promenade" : je commence tranquille et j'augmente le rythme petit a petit pour aller au bout de ce que je peux... La technologie etant ce qu'elle est, je ne cours jamais sans mon appli favorite, du coup, je surveille constamment mon temps au kilometre en m'astreignant finalement de ne jamais redescendre en dessous du temps de la derniere session. et je n'y arrive pas tres souvent, sauf quand j'ai eu l'idée de prendre mon velo deux fois dans la semaine pour aller au boulot (la aussi, je prends mon appli a temoin, du coup, je fais preuve de la meme "moderation"...) Enfin bref, a mon idée, je cours lentement. mais je m'en contrefiche royalement : je ne cours que contre moi-meme, je ne me mesure qu'a mes fantomes de mes courses passées : Je suis premier, deuxieme, troisieme... et dernier sur mon propre podium (Je ne vous dirai donc pas mes temps, ni mes distances puisqu'on en a rien a faire) Enfin, comme il est dit dans l'article, et je le mesure lorsque le sujet est evoqué partout autour de moi, je fais deja beaucoup plus que la majorité. mais de ca aussi je me fiche : c'est mon corps que je gere, pas celui de mon voisin. Ne vous prenez pas la tete, prenez vos baskettes ;) Claire :
à 10:27
Moi aussi je fais partie de ceux qui courent doucement mais surtout de ceux qui courent Je fais mes entrainements sérieusement. Je m inscris à des courses et je termine très très souvent dans les derniers Mais je n ai jamais abandonné aucune course. J ai mème fais un semi marathon en 2h57 et j en suis fière. Je vais peut être faire un marathon cette année. Et ce que j apprecie dans les courses, c est que ceux qui sont deja arrivés, encouragent ceux qui terminent. Tres belle mentalité SARAH MOLLIER-PIERRET :
à 22:03
J'ai commencé à courir il y a 3 ans, à 50 ans, et on ne peut pas dire que je cours vite... Je suis très fière d'avoir réussi à finir le semi-marathon de Bordeaux cette année, en 2h50, certes, mais fini. Au 16è km, quand la fatigue commençait à arriver, j'ai eu la chance de me faire accompagner par un jeune qui venait de finir le semi ...et a refait le dernier tour des deux ponts à mon rythme, juste pour m'aider. Je ne connais pas son nom, je ne le reverrai jamais, mais je lui suis infiniment reconnaissante pour son aide sur ces derniers 6 km. C'est ça la solidarité en course à pied ! Virginie :
à 22:17
Merci pour cet article et tous les messages qui remontent le moral. Je fais aussi partie de gens qui courent lentement et ça me démotive Mais c'est vrai on court pour et contre soi et puis quelque soit son temps, faut se dire qu'on cours plus vite que ceux qui restent dans leur canapé J'ai jamais plus couru plus de 10km Objectif de cette année : un 13km et les 20km de Paris. Je ne vise pas un chrono juste la ligne d'arrivée Bon run à tous Marie H :
à 04:18
L'été dernier en vacances, les joggeurs le long du front de mer m'ont donné envie de tester la course à pied...J'y ai rapidement pris goût et en mars dernier j'ai bouclé mon 1er 10 km en pratiquement 1h30. Alors oui c'est lent et énervant d'avoir le vélo balai derrière soi pendant toute la course, mais quelle fierté de franchir la ligne d'arrivée à 51 ans et après une perte de 53 kg suite à un rééquilibrage alimentaire... Alice :
à 20:33
Merci pour tous ces témoignages qui me rassurent. Je me suis beaucoup pris la tête avec ma vitesse de course et aussi mis la pression en entendant les pros se comparer.. Bonne continuation à tous.merci encore Marillou :
à 23:40
Merci à vous tous pour vos témoignages ça motive. Je cours depuis 3 mois je suis pas fan. Mais je récupère de l'énergie et du souffle, bref de la liberté pour suivre mes enfants. Je fais du fractionné pour tenir une durée et faire de l'endurance. C'est cool cool j'ai débuté 30s à courir 1mn30 à marcher ce pendant 30 mn. J'ai mis du temps à descendre mon rythme cardiaque je courais trop vite (160b/mn) alors que je voulais rester dans les (105) pour brûler un maximum de graisse. Je trottine donc à 5km/h (moyenne 145b/MB) je monte à 7,5 pour travailler le cardio mais pendant 2mn. Après je suis super essoufflée ! L'intérêt c'est que je lâche pendant plusieurs semaines pour diverses raisons mais que je reprends la où j'ai arrêté. Du coup j'en suis au fractionné 45mn sans être très essoufflée et je vois déjà les facilités que ça m'apporte dans mon cotidien. Je ne me traine plus. Mon objectif c'est de faire 50 à 55 non stop peut importe la distance. Moi qui n'ai jamais courue longtemps même à l'école 40mn maxi car j'ai toujours courue trop vite. Maintenant je suis sûre d'y arriver. Et que de santé gagnée par rapport à ceux assis dans leur canapé. Alors faire les choses et les terminer c'est la seule chose qui compte. Le nbr de personnes qui rêveraient de faire un demi marathon et qui n'essaie même pas et vous vous le faite c'est génial 😁 gonin :
à 17:06
Je fais partie aussi des escargots mais j assume J ai toujours fini mes courses que ce soit 10km semi marathon(en 2h57) ou marathon(en 6h33) Je n ai jamais abandonné Je connais les voitures balais et les podiums des derniers Mais je continue toujours Plus je cours et moins j avance. Je me demande si c est parce que je n ose pas augmenter ma vitesse. Je vais travailler sur la pensée positive ! Guide : 20 conseils pour débuter en running et réussir rapidement :
à 11:11
[…] à pied débutant n’est pas une histoire de vitesse mais de progression et de régularité. Même si vous courez lentement, vous courez toujours plus vite que ceux qui restent assis sur leur […] 9 kg de perdu MERCI :
à 08:43
[…] (qui a laissé un commentaire sur l’article : Est ce que c’est « grave » de courir lentement ?) » Et bien cet article c’est tout à fait moi ! J’ai eu du mal à débuter la course […] Pascale Bach :
à 16:29
Merci pour ce bel article. Bravo à nous tous, les escargots, les tortues et autres gentils sobriquets 😉. On est lent ? Et alors ? On a la même médaille à la fin et comme j’ai lu une fois : »je rentabilise mon dossard !! » 😂😂 3apartment :
à 22:36
3vigilant Brugger Michel :
à 16:01
Bonjour, J'ai bientôt 63 ans et j'ai décidé (même pas après un apéro..) de faire le marathon du Mont Saint Michel. Je me suis mis à courir début novembre 2021. Il faut savoir que je randonne mais ne coure pas. Je sui passé de 200mètres sans m'arrêter de courir à aujourd'hui 7km. Ces 7km je les fait aux alentours de 1h. Je me posais la question :"Est-ce jouable de courir un marathon à cette allure, ou faut-il vraiment que j'améliore ma cadence?". Sans doute va-t-il aussi falloir allonger la distance en entraînement? Qu'en pensez-vous? Mon seul objectif aujourd'hui est de finir ce marathon. signé un escargot peut-être marathonien Denis Dhekaier :
à 17:34
Bonjour Michel, Vous pourriez faire une préparation d'un semi sans séance difficile : https://www.jiwok.com/finir-un-semi_marathon-sans-seance-intensive--2-seances-par-semaine-sur-8-semaines.-293 avant d'enchaîner sur la préparation du dit marathon. Dans tous les cas, vous pouvez tenter l'expérience tout en faisant une préparation pour courir plus longtemps, vous pourrez le terminer en faisant du marcher/course... Restant à votre disposition pour vous guider. Bonne préparation Cédric :
à 06:13
Un très bon article qui remotive. J’ai 47 ans, je me suis mis au Running il y a 4 mois, maintenant j’enchaîne des sorties de 12 à 14 kilomètres avec une vitesse moyenne de 7 à 8km/h. Déjà je marche 1km pour m’échauffer, après je cours à mon rythme, si la côte est trop raide je marche et je reprends la course après. Bref l’essentiel est de se faire plaisir et comme dit dans l’article, que l’on soit lent ou pas au moins on se bouge. Au départ le cardio tournait plein pot, puis plus on a b e dans le temps, plus le rythme descend et la récupération est rapide. Courir lentement mais courir longtemps c’est mon maître mot. Après je ne suis pas un pro, je le fais avant tout pour moi et pour ma santé. Peu importe d’être le dernier, il y en a tellement qui sont vautrés dans leur canapé que je me dis que quoi qu’il en soit je suis plus rapide qu’eux 😂😂😂. La vie est belle :
à 23:02
Depuis que je cours je suis toujours plus rapide que de rester dans mon canapé Explorez les avantages de la course à vitesse pour booster vos performances ! - sacburberry-pascher.fr :
à 22:49
[…] Découvrez comment courir à vitesse peut transformer votre entraînement ! […] Laisser un commentaire